La connaissance de l’anglais et spécialement du champ lexical est devenue incontournable dans quasiment n’importe quel emploi.
Malheureusement, le système éducatif et les moyens classiques ne forment pas à l’utilisation de l’anglais en milieu professionnel.
L’anglais professionnel est quasiment une langue spéciale, avec des réflexes, des formes de phrases, un vocabulaire très différents de James Joyces ou Shakespeare !
Loin de se satisfaire des diplômes classiques et scolaires, les sociétés exigent de plus en plus des tests d’anglais comme le Toefl, ou le
Toeic ou Bulats.
Quand on cherche à parler anglais dans un milieu professionnel, il faut aussi connaître les différences entre les milieux d’affaire anglo-saxons et français que ce soient les différences socioculturelles, les façons de se conduire ou de parler des problèmes rencontrés.
L’anglais professionnel maîtrisé doit aussi permettre de négocier, de vendre, d’acheter, de présenter un projet, de gérer une relation client ou de comprendre des projets commerciaux, marketing et même industriels tout en assurant éventuellement la présentation écrite ou le compte-rendu de ce type d’actions.
La gestion des conflits et des objections, quasi quotidienne dans le milieu professionnel, est quelque chose qu’on ne peut pas mener à l’international si on ne maîtrise pas complètement l’anglais des affaires à ce sujet.
Une bonne école d’anglais professionnel comme Cap English Pro mettra l’accent notamment sur cette partie.
Organiser des voyages professionnels et pouvoir réagir aux aléas de ceux-ci, gérer un agenda ou répondre rapidement à des mails, est aussi quelque chose d’incontournable à apprendre dans ce domaine de l’anglais « pro ».
Par ailleurs, apprendre l’anglais quand on travaille nécessite des méthodes d’apprentissage très pragmatiques, axées sur l’essentiel et permettant de retenir le plus rapidement possible les points clés de chaque session, sans avoir besoin d’un important travail personnel en dehors des moments d’apprentissage.
Le financement de la formation est aussi un élément à prendre en compte, qu’il soit pris en compte par l’entreprise, financé par le compte personnel de formation ou par la poche même du salarié qui veut évoluer.